L'innovation de la carte à mémoire : Le fruit de rencontres improbables :
- un personnage passionné, curieux, et empathique ;
- un conseil en brevet visionnaire et atypique ;
- des grands « commis d’état » du temps des grands programmes technologiques (DAII, DGT,…).
Roland Moreno, personnification de l’inventeur français: curieux et s’émerveillant de tout, il papillonne entre un emploi de secrétaire à la revue de la chimie, la création de « trucs marrants », le « matapof», machine de tirage au sort, le « pipotron », logiciel imaginé avec son cousin Marcel Botton, célèbre créateur de marques, pour créer des néologismes. Lui vient une nouvelle idée : « et si on mettait les circuits qu’il a vu lors d’une visite des laboratoires de Honeywell-Bull sur une bague ? On pourrait faire une clé magique, non ? »
Jean Moulin, conseil en brevet au sein du respectable cabinet Kessler, reçoit cet « olibrius », et a l’intelligence de ne pas le prendre de haut genre «revenez me voir avec un mémoire d’invention qui ressemble à quelque chose… », mais arrive à déceler les prémices d’une invention dont l’inventeur n’a sans doute pas pleinement mesuré la portée. Et il prépare une première demande de brevet déposée le 25 mars 1974 (voir le document ci-joint il vaut la peine d’être lu en détail Téléchargement FR2266222A1). Puis, convaincu par l’entrain de Roland Moreno, il devient un vrai sparring partner voire coach, et rédige deux brevets complémentaires sous priorité interne pour renforcer le premier dépôt.
Sans la qualité des conseils et l’intelligence des brevets apportée par Jean Moulin, il est certain que cette belle aventure n’aurait pas existée.
Puis Jean Moulin rejoint la compagnie Alcatel où il prend la responsabilité de la stratégie, mais n’oublie pas son ancien client.
Le corps des Mines dont Jean Moulin fait partie compte quelques grands commis d’état, disposant de capacités d’intervention telles que la DAII dirigée alors par Jean Syrota, la Direction Générale des Télécommunications (DGT) dirigée par Gérard Théry et Jacques Dondoux, dont la mission est l’informatisation de la société et le pilotage de la politique industrielle avant de devenir France Télécom, ou encore la CII-HB avec Michel Ugon.
Cet éco-système « public/privé » permet un accouchement – long et aléatoire- d’une activité industrielle à laquelle viennent se joindre des entrepreneurs tels que GEMPLUS créé par Marc Lassus, spin-off de Thomson qui ne croyait pas à la carte à mémoire, Schlumberger et Oberthur en mal de reconversion.
Jean Moulin vient alors prendre la direction d’Innovatron, aux cotés de Roland Moreno qui continue à explorer de nouveaux horizons : l’interactivité des ordinateurs avec les premiers modems HELLO pour Apple, le parcmètre intelligent PIAF, les solutions de paiement incorporant un système de partage de richesse, etc.
Parallèlement, Innovatron constitue une rente, par une politique de licence maline, pilotée par Philippe Le Clech sous la houlette de Jean Moulin, consistant à prélever des redevances non pas sur les « chipsets » mais sur les terminaux de paiement et les cartes : on évite ainsi l’épuisement des droits qui se serait produit en concédant des licences pour des composants de faible valeur unitaire. La standardisation des accords, une grille de redevances faibles et bien structurée, a permis de gérer des revenus confortables. C’est l’âge d’or d’Innovatron, pendant lequel Roland Moreno s’amuse à modéliser son organisation en écrivant un livre « la théorie du bordel ambiant ».
Hélas, un accident de santé rend Roland Moreno indisponible pendant quelques mois au cours desquels la vie de la société continue, et à son retour, alors qu’il expliquait toujours qu’il détestait les enjeux de pouvoirs, il a du mal à accepter que la société puisse tourner sans lui. Et, pour reprendre l’expression d’un collaborateur d’Innovatron paraphrasant le titre de son patron, « on passe de la théorie à la pratique ».
La plus grave erreur a sans doute été de ne pas prolonger suffisamment l’effort de R&D pendant la « période d’or » : les licenciés, eux, ont pratiqué activement le « design around » et se sont trouvé détenteurs de plusieurs centaines de brevets portant sur des détails techniques certes dépendant des brevets « historiques », mais formant une deuxième ligne de brevets qui deviendront dominant lorsque les brevets Innovatron tombent dans le domaine public, à partir des années 94. Les autres projets n'ont malheureusement pas connu le même succès que la carte à mémoire, et l'équipe s'est dispersée, laissant la société Innovatron survivre sans nouvel éclat.
Quel enseignement retenir de cette aventure ?
- la curiosité, conjuguée à la capacité de réunir des partenaires autour d’un projet visionnaire est la clé du succès d’une innovation
- la qualité du conseil en propriété industrielle est déterminante : elle a permis de passer les obstacles de revendication de la propriété par un autre inventeur, Daniel Vesque, ingénieur au CNET, à résister aux oppositions de Philips et à construire une politique de licences efficace
- l’innovateur ne peut jamais se reposer sur ses lauriers, et doit constamment chercher à se surpasser, sinon d’autres (notamment ses licenciés) le feront à sa place
- dans les relations entre l’inventeur et le licencié, sur le long terme, c’est toujours le licencié industrialisant le produit qui tire finalement le meilleur profit
- enfin, l’éco-système des années 80 avec un pilotage semi-public des grands projets technologiques a permis quelques belles réussites en matière d’innovation française dans le domaine des télécommunications.
- Et pour conclure, la réussite est fortement liée à la qualité des hommes et à leur capacité à coopérer.
Et quand même un regret : notre champion emblématique de l'innovation est Roland Moreno, alors qu'aux Etats-Unis des parcours similaires ont conduit à des champions tels que Mark Zuckerberg (Facebook) ou Sergueï Brin et Larry Page (Google).
Droit de réponse de Daniel Vesque (conformément à la recommandation 2004-16 du Conseil de l’Europe et au décret du 24 octobre 2007).
Votre article résume à sa manière l’aventure de la carte à puce qui aurait été animée par les merveilleux Roland Moreno et Marcel Botton (cousins mais aussi dirigeants de l’association Innovatron créée en 1972 que vous occultez), le merveilleux Jean Moulin conseil en propriété industrielle, et les merveilleux « commis de l’Etat » appartenant au CNET, à la DAII , à la DGT, et à sa filiale CII-HB ; en somme, une aventure animée par le mirifique « éco-système public/privé » faites-vous comprendre.
Les deux plaintes contre X que j’ai engagées en 1995 et 2000 pour notamment « usurpation de la qualité et du titre d’inventeur de la carte à puce, complicités (public/privé), escroqueries par usage d’une fausse qualité, escroquerie en commun et recel en commun » ne partagent pas du tout votre point de vue sur ce petit monde public/privé dont la mixité rend très ‘sensible’ l’affaire que j’ai introduite. Je me limiterai ici à intervenir sur quelques points seulement :
- En écrivant « Jean Moulin, conseil en brevet au sein du respectable cabinet Kessler (...) prépare une première demande de brevet déposée le 25 mars 1974 » vous faites croire que Jean Moulin a rédigé la demande de brevet de base du 25 mars 1974 sur l’invention de la carte à puce (demande de brevet où Roland Moreno se définit lui-même comme étant le déposant et non pas l’inventeur de cette invention) or ce n’est pas Jean Moulin qui a rédigé cette première demande de brevet mais Francis Marquer, ceci n’est pas signalé par le brevet imprimé mais les éléments du dossier de l’INPI le prouvent, Jean Moulin a poursuivi la procédure de dépôt après octobre 1974, après l’interruption de la prestation de Francis Marquer. D’autre part, vous induisez que Jean moulin était au-dessus de tout soupçon puisqu’il exerçait dans un ‘respectable’ cabinet, or il est abusif de hisser ce cabinet au-dessus des autres cabinets; comme vous appartenez au microcosme français de la propriété industrielle, exerçant en tant qu’expert en ce domaine, vous devriez savoir en effet que M. Kessler est venu à faire l’objet en 1983 d’une radiation de la liste nationale des conseils en brevets d’invention par la chambre de discipline de la Compagnie nationale des conseils en brevets, pour « avoir manqué à ses obligations professionnelles » et pour « manquements à la probité » constatés au préjudice de plusieurs personnes (cf. l’arrêt du Conseil d’Etat du 9 décembre 1988 –56856–Kessler– au Recueil Lebon).
- En écrivant « la qualité du conseil en propriété industrielle est déterminante : elle a permis de passer les obstacles de revendication de la propriété par un autre inventeur, Daniel Vesque, ingénieur au CNET,... » vous laissez entendre que ce serait en raison d’arguments techniques fournis par l’ingénieur centralien Jean Moulin lors de débats que mes plaintes n’auraient pas abouti, or il n’a été ni auditionné ni confronté avec moi-même malgré que je l’aie demandé à maintes reprises, et l’arrêt de non-lieu a été prononcé sans avoir investigué préalablement ce qui est inacceptable car en France seuls les juges d’instruction ont des pouvoirs notables d’investigations. Pour ma part, j’estime qu’il s’agit d’un procès inéquitable et partial. Mais l’affaire n’est pas totalement finie...
- Par ailleurs, sur le point concernant la prétendue idée de l’invention qui serait venue à Roland Moreno après une visite de Honeywell-Bull rapportez-vous, la réponse que je fais est déjà donnée dans mon blog http://daniel.vesque.blog.free.fr/ . Les multiples versions différentes et incompatibles de la genèse de l’invention qui ont été alléguées successivement avec le même aplomb par Roland Moreno, qui a ainsi montré un grand talent de variateur, sont trop nombreuses pour que je les réexpose ici.
- Et enfin, vous titrez votre article ainsi : « Moreno, l’archétype de l’inventeur français » c’est à dire le modèle des inventeurs français. Ce n’est pas sérieux, sinon il faudrait enseigner les méthodes de Roland Moreno dans les écoles car la France et l’Europe manquent d’inventeurs, il faudrait alors : apprendre aux élèves par exemple à dire sans gêne « Je suis un arriviste ... c’est à dire que tous les moyens sont bons pour arriver ... moyens qui ont la faveur du public à ce moment là. », leur inculquer que « Pour être inventeur, il faut, je crois, oser transgresser, être un petit peu fraudeur, un petit peu tricheur », et que « Si on invente beaucoup, n'est-ce pas plutôt qu'on est ‘démerde’. », etc...
Rédigé par : Daniel VESQUE | 31 juillet 2012 à 11:00
Le point de vue de Daniel Vesque.
En l’occurrence, votre article désinforme l’opinion publique en présentant des faits inexacts qui sont relatifs à une invention mais qui sont préjudiciables à une affaire judiciaire, indissociable, engagée par deux plaintes contre X de 1995 et 2000, affaire qui me concerne puisque j’en suis la partie civile. Désinformer l’opinion publique affecte mes droits car votre désinformation, même si elle est involontaire, facilite et encourage l’étouffement complet de l’affaire judiciaire. La justice se rend au nom et devant le peuple français, mais pour que cela fonctionne il est nécessaire que les journalistes, experts ou non, aient conscience que leur poste est important et nécessite l’exactitude, même s’il est tentant d’enjoliver les choses, de forger une belle légende, après la mort d’une personne à l’abord sympathique.
Je remarque tout d’abord que vous êtes professeur notamment à HEC et Sciences-Po et dès lors non totalement indépendant par rapport à l’Etat ("Sans la liberté de blâmer il n’est pas d’éloge flatteur" disait Beaumarchais), et je relève ci-après plusieurs points où tantôt la neutralité tantôt l’exactitude factuelle font défaut à mon détriment dans votre article :
- Votre article résume à sa manière l’aventure de la carte à puce qui aurait été animée par les merveilleux Roland Moreno et Marcel Botton (cousins mais aussi dirigeants de l’association Innovatron créée en 1972 que vous occultez), le merveilleux Jean Moulin conseil en propriété industrielle, et les merveilleux « commis de l’Etat » appartenant au CNET, à la DAII , à la DGT, et à sa filiale CII-HB ; en somme, une aventure animée par le mirifique « éco-système public/privé » faites-vous comprendre.
Les deux plaintes contre X que j’ai engagées en 1995 et 2000 pour notamment « usurpation de la qualité et du titre d’inventeur de la carte à puce, complicités (public/privé), escroqueries par usage d’une fausse qualité, escroquerie en commun et recel en commun » ne partagent pas du tout votre point de vue sur ce petit monde public/privé concerné, et sa mixité n’est pas un avantage, elle rend au contraire l’affaire plus difficile à traiter par la justice dont le parquet n’est pas indépendant notamment.
- En écrivant « Jean Moulin, conseil en brevet au sein du respectable cabinet Kessler (...) prépare une première demande de brevet déposée le 25 mars 1974 » vous faites croire que Jean Moulin a rédigé la demande de brevet de base du 25 mars 1974 sur l’invention de la carte à puce (demande de brevet où Roland Moreno se définit lui-même comme étant le déposant et non pas l’inventeur de cette invention) or ce n’est pas Jean Moulin qui a rédigé cette première demande de brevet mais Francis Marquer, ceci n’est pas signalé par le brevet imprimé mais les éléments du dossier de l’INPI le prouvent, Jean Moulin a poursuivi la procédure de dépôt après octobre 1974, après l’interruption de la prestation de Francis Marquer. D’autre part, vous induisez que Jean Moulin, qui fait partie des personnes soupçonnées dans mes deux plaintes précitées, était au-dessus du citoyen ordinaire, au-dessus de tout soupçon en quelque sorte, puisqu’il exerçait dans un "respectable" cabinet, or il est abusif de placer le cabinet Kessler au-dessus des autres cabinets. S’agissant des cabinets de conseil, Roland Moreno a allégué dans ses livres, justifiant le changement de cabinet, que le cabinet Francis Marquer aurait produit une rédaction du brevet comprenant des revendications non satisfaisantes ; ma plainte, de son côté, a signalé que M. Kessler est venu à faire l’objet en 1983 d’une radiation de la liste nationale des conseils en brevets d’invention par la chambre de discipline de la Compagnie nationale des conseils en brevets, pour « avoir manqué à ses obligations professionnelles » et pour « manquements à la probité » constatés au préjudice de plusieurs personnes (cf. l’arrêt du Conseil d’Etat du 9 décembre 1988 –56856–Kessler– au Recueil Lebon).
- En écrivant « la qualité du conseil en propriété industrielle est déterminante : elle a permis de passer les obstacles de revendication de la propriété par un autre inventeur, Daniel Vesque, ingénieur au CNET, ... » vous laissez entendre que ce serait en raison d’arguments techniques fournis par l’ingénieur centralien Jean Moulin lors de débats que mes plaintes n’auraient pas abouti, or il n’a été ni auditionné ni confronté avec moi-même malgré que je l’aie demandé à maintes reprises, et l’arrêt de non-lieu a été prononcé sans avoir investigué préalablement ce qui est inacceptable car en France seuls les juges d’instruction ont des pouvoirs notables d’investigations. Pour ma part, j’estime qu’il s’agit d’un procès inéquitable et partial. Mais l’affaire n’est pas totalement finie...
- Par ailleurs, sur le point concernant la prétendue idée de l’invention qui serait venue à Roland Moreno après une visite de Honeywell-Bull rapportez-vous, la réponse que je fais est déjà donnée dans mon blog http://daniel.vesque.blog.free.fr/ . Les multiples versions différentes et incompatibles de la genèse de l’invention qui ont été alléguées successivement avec le même aplomb par Roland Moreno, qui a ainsi montré un grand talent de variateur, sont trop nombreuses pour que je les réexpose ici. Rapporter cette version sans rapporter toutes les autres versions données, c’est, volontairement ou non, rendre normal un comportement qui ne l’est pas, c’est changer la réalité factuelle, c’est désinformer le public, c’est lui faire oublier que Roland Moreno lui-même s’est défini le 25 mars 1974 uniquement comme le déposant de l’invention de la carte à puce.
- Et enfin, vous titrez votre article ainsi : « Moreno, l’archétype de l’inventeur français » c’est à dire le modèle des inventeurs français. Or, pour qu’une personne puisse être dénommée inventeur modèle il est nécessaire d’abord que ses méthodes puissent être enseignées dans les écoles car la France et l’Europe manquent d’inventeurs : Peut-on réellement apprendre aux élèves par exemple à dire sans gêne « Je suis un arriviste ... c’est à dire que tous les moyens sont bons pour arriver ... moyens qui ont la faveur du public à ce moment là. » ? ; Peut-on réellement leur inculquer que « Pour être inventeur, il faut, je crois, oser transgresser, être un petit peu fraudeur, un petit peu tricheur », et que « Si on invente beaucoup, n'est-ce pas plutôt qu'on est ‘démerde’. » ?, etc...
Rédigé par : Daniel Vesque | 02 août 2012 à 14:57
M. Vesque, Roland Moreno est incontestablement reconnu comme inventeur sur tous les brevets qu'il a déposé, et aucune action que vous avez engagée n'a permis d'infirmer cette réalité, ne vous en déplaise.
D'ailleurs, il eut été aisé d'engager une action en revendication pour obtenir le transfert de la propriété de ces brevets si vous étiez réellement l'inventeur. Comment admettre que malgré votre virulence vous ayez négligé cette voie ?
Et lorsque vous évoqué des plaintes, vous restez très discret sur leur résultat : si vous aviez obtenu gain de cause, je suis convaincu que vous en feriez état.
Je trouve donc vos propos infondés et tout à fait déplacé (je les ai d'ailleurs aussi retrouvé sur un autre site qui vous semble proche :
http://www.propagandes.info/product_info.php/roland-moreno-linventeur-de-la-carte-puce-est-mort-lhistoire-dune-escroquerie-p-1622
Rédigé par : @Vesque | 02 août 2012 à 17:33
Daniel Vesque répond à la personne qui a émis un commentaire le 2 août 2012 à 17h33.
1°/ Il est de mauvais goût de se masquer derrière un pseudonyme qui incorpore mon nom.
2°/ Vous dites que Roland Moreno a une qualité d’inventeur de la carte à puce unanimement reconnue sur tous les brevets déposés, or la qualité d’inventeur n’est pas une qualité qui s’élit au nombre de voix, sachez-le.
3°/ Contrairement à vos allégations gratuites, je n’ai négligé aucune voie,.
4°/ Seuls les illettrés n’ont pas pu connaître l’issue que j’ai signalée maintes fois de mes deux plaintes de 1995 et 2000, plaintes dont l’instruction peut encore reprendre, ne vous en déplaise.
5°/ Ce sont vos propos qui sont infondés, et d’autre part vos insinuations qui tentent de faire dériver l’affaire vers des rivalités communautaires sont inqualifiables.
Rédigé par : Daniel Vesque | 03 août 2012 à 18:41
Wonderful article! This is the type of information that should be shared across the internet. Disgrace on Google for now not positioning this put up higher! Come on over and discuss with my site . Thank you =)
Rédigé par : how to lose belly fat | 13 novembre 2013 à 00:05
Etant donné que vous êtes soucieux d’informer, ce qui n’est pas courant, je me permets de solliciter que vous ajoutiez à mon commentaire de 2012 le présent commentaire complémentaire qui fait connaître que je viens de rédiger un nouveau blog, plus complet que le précédent (qui fonctionne toujours), intitulé ‘L’histoire par Daniel Vesque de l’invention de la carte à puce avec ses dessous et la procédure’, à l’adresse suivante : http://cartapuce.vesque.blog.free.fr
Dans ce nouveau blog j’ai également rédigé une critique de l’exposition ‘Carte à puce. Une histoire à rebonds’ présente au CNAM jusqu’au 3 janvier 2016.
Rédigé par : Daniel Vesque | 16 décembre 2015 à 17:53